L’héritage de Christopher McCandless

Au plus loin que je me rappel, l’histoire de Christopher Johnson McCandless m’a toujours fasciné et ce, sur plusieurs années. C’est en 2009 que j’ai vu le film, pour la première fois, à un style de cinéma qui offrait des films à rabais, à Laval, il y a 15 ans quand même…..

Chaque fois, cette fascination me revenait en fredonnant la chanson-thème, en revoyant des scènes du film ou quelqu’un m’en parlait tout simplement (je sais pourquoi maintenant..). Comment ce personnage a décidé de lâcher tout ce qu’il avait comme sécurité, comme matériel, pour se donner cœur et âme à un parcours tumultueux, remplis de rencontres, de défis, de hauts et de bas. Il faut faire confiance à la vie à 100% ici.

Après plusieurs recherches, on se rencontre qu’  » Alexander Supertramp  » avait comme on dit, le gaz au cul. Grand sportif, grand penseur et lecteur d’ouvrage spirituel, avide de liberté, visionnaire, leader, il n’aimait pas la vie actuelle (qui était la même jusqu’à son décès en 1992), celle du contrôle par l’argent, par les règles qui parfois, ne font pas de sens. Sa philosophie se résume à un mot : VIVRE. VIVRE au maximum de notre potentiel et non être ACTEUR de sa vie, c’est ce qu’il a démontré avec brio, malgré sa fin tragique. Il écriva à un ami à lui, Russ, d’une 60aine d’année, qu’il rencontra peu de temps avant son grand départ vers le Dakota Du Sud «  I think you really should make a radical change in your lifestyle and begin to boldy do things which you may previously never thought of doing or been to hesitant to attempt  ». Imaginez, le mot qui me vient à l’esprit c’est  » Oser  » ici ou plutôt VIVRE….

Son aventure se termina le 18 août 1992, mort de famine dû à l’ingestion d’une plante qui à malheureusement confondu avec une autre de la même catégorie mais qui s’avérait être toxique pour l’estomac, pour sa digestion. Son journal de bord mentionne son état vers le 100e jour, « too weak to walk out« , trop faible pour s’en aller. Il essaya tout de même de revenir dans la civilisation mais l’endroit où il campait, le Magic Bus 142 (chiffre 7, vous verrez plus loin) de la Stampede Trail en Alaska, était prise avec la rivière Talkeetna, qui réussit à traverser au début de son périple car elle était basse mais pas lors de son retour, l’entrée 69 de son journal explique le sentiment qu’il eut (voir image plus bas), désastreux.

Le Bus a, depuis 2020, été déplacé à la demande de Fairbanks, suite à plusieurs pélégrinage dangeureux d’individus à travers la planète qui venait rendre hommage au site. Vous verrez plus bas l’importance en chiffre de son hommage.

Son cas m’a beaucoup interpelé point de vue numérologie comme je mentionnais plus haut. Suivant mes formations en cours, j’ai décidé de procéder aux calculs pour comprendre, avec les chiffres, cet être que j’aurais qualifié, de précieux.

Née le 12 Février 1968, il avait en numérologie le chiffre 11, le nombre maître 11, comme chemin de vie. Le visionnaire, ayant une mentalité différente, la coopérativité dans le sang (les multiples rencontres qu’il eut et l’aide qu’il apporta à ceux-ci). Sa dernière année personnelle était le chiffre 8 (en 1992), ce qui se résume à l’apprentissage matérielle mais aussi à l’achèvement, l’achèvement de son rêve-périple en Alaska. Son dernier mois personnel était le chiffre 1, tout comme la journée attribuée à son décès, le chiffre 1. Ce que cela révèle est bien sûr une mort solitaire mais aussi un nouveau départ pour lui, un pionnier de nouvelles façons (façons de vivre, façon de voir les choses) et l’atteinte de son objectif.

 » Hapiness is only real when shared  » qu’on traduit par le bonheur est vrai que lorsque partagé (encore le chiffre 2 du nombre maître 11, la coopération avec autruis).

 » Circumstance has no value. It is how one relate to a situation that has value. All true meaning resides in the person relationship to a phenomenon, what it means to you « . La façon de voir une circonstance, la perception de celle-ci et donc pour lui, une circonstance n’a pas de valeur, c’est comment un invidu s’identifie qui a une valeur. Sa façon de percevoir la vie amena comme je disais plus haut, plusieurs personnes en pélérinage pendant plusieurs années mais aussi ancrait bien sa vision.

Le nombre Pinnacle #1, qui s’attribue entre 0 et 34 ans était pour lui synonyme de la recherche totale de la liberté, le chiffre 5, comme il le faisait si bien (il est décédé à 24 ans). Le chiffre 11, le leadership, (leader de sa propre épopée), c’est ce qui le faisait réellement vibrer, son indépendance (le chiffre 1), l’indépendance matérielle qu’il exprimait si fortement (du cœur….) et il réussit cela avec brio également, l’ouverture de sa croyance l’amena ailleurs. Je crois qu’il le savait vers la fin, voyant son énorme sourire. Il débute son aventure avec sa propre voiture, une Datsun Jaune ayant un numéro de plaque 7 (VIRGINIA SJF-241) et termine son aventure dans un autobus de chiffre 7 (142), comme quoi il n’était pas seul dans son voyage. Le 7 est le chiffre des grand penseurs, des spirituels, de la spiritualité, lui-même qui transportait sa bible….

Il avait accompli quelque chose de grandiose à sa façon. Peut-être devrions-nous faire la même chose à notre propre manière?? Je le remercie car à sa manière, il apporta un changement chez certaines personnes. Maintenant, à nous de le faire progresser.

Dernier au-revoir sur sa caméra personelle
La pancarte qu’il tient à sa main
Le journal
Partage d’une page du livre  » Back to the wild « 

Louis- M L

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